Un emplacement handicapé
S’il y a bien une chose qui peut être exaspérant, c’est de chercher une place de parking (de préférence non payante). Heureusement, pendant le mois d’août, je ne sais pas si c’est le cas partout mais sur Paris, tous les stationnements extérieurs sont gratuits.
Résultat, il est encore plus difficile de trouver de la place (déjà que ce n’est pas évident le reste de l’année). Bien évidemment, il est tentant de se garer là où il y a à coup de la place, sur un stationnement handicapé.
Personnellement, ça m’est déjà arrivé mais uniquement dans ma copropriété car vu l’emplacement, je peux vous dire que ce n’est pas un cadeau. Moi qui suis valide, j’ai énormément de mal à me garer à cette place alors, pour celui qui a un handicap, je n’ose imaginer (cela dit, ce n’est pas un exemple à suivre).
En dehors, je respecte toujours cette place qui leur être réservée. Ce qui me plait par contre dans cette illustration et qui est très juste, c’est la petite phrase qui veut tout dire «tu prends ma place, tu prends mon handicap». Comprenez par là, ce n’est déjà pas facile au quotidien alors si on nous embête aussi à ce niveau-là…